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  • Ivylin | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    Ivylin retour OTC 100 ml 3.5 mg / 5 ml POSOLOGIE ET CONTRE-INDICATIONS L'emballage d'Ivylin contient une dosette. La posologie est de: ÂGE DE 4 à 5 ans ​ ÂGE DE 4 à 5 ans ​ ​ ÂGE DE 4 à 5 ans 2.5 ml ​ ​ 5.0 ml ​ ​ 5 - 7.0 ml 3 fois par jour ​ 3 fois par jour ​ 3 fois par jour CONTRE-INDICATIONS Ivylin ne doit pas être administré aux enfants de moins de 4 ans. Ivylin ne se prend pas durant la grossesse car il contient des substances qui peuvent créer ou augmenter les contractions utérines. ​ IVYLIN SE PRESENTE DANS UN FLACON BRUN DE 100 ml contenant 3.5 mg d'extrait de lierre / equivalent à 3.5 mg d' Hederacoside C. IVYLIN ne contient ni alcool ni sucre. Il a un arôme de miel. Hedera helix Inflammations des voies respiratoires Origines ​ Infections : Les infections virales, comme le rhume et la grippe, sont des causes fréquentes d'inflammation des voies respiratoires. Les infections bactériennes peuvent également provoquer une inflammation, souvent plus sévère, comme dans le cas de la pneumonie ou de la bronchite bactérienne. Allergènes : Les allergènes tels que le pollen, les poils d'animaux, la poussière et les moisissures peuvent déclencher une réponse allergique qui entraîne une inflammation des voies respiratoires. Cette réaction peut conduire à des symptômes d'asthme ou de rhinite allergique. Polluants : L'exposition à des polluants atmosphériques tels que la fumée de tabac, les gaz d'échappement des véhicules, et les produits chimiques industriels peut irriter et inflammer les voies respiratoires. Maladies auto-immunes : Certaines maladies auto-immunes, telles que la sarcoïdose et la vascularite, peuvent également causer une inflammation des voies respiratoires en raison d'une réaction immunitaire mal dirigée. Irritants physiques : L'inhalation de substances irritantes, comme la fumée ou les vapeurs acides, peut entraîner une inflammation directe des voies respiratoires. L'inflammation des voies respiratoires se caractérise généralement par une rougeur, un gonflement, et une production accrue de mucus, pouvant conduire à des symptômes tels que toux, essoufflement, et difficulté à respirer. La gestion de ces inflammations dépend souvent de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des changements dans l'environnement ou le mode de vie, et parfois des traitements plus spécialisés. Bienfaits L'extrait de lierre (Hedera helix) est couramment utilisé en phytothérapie, notamment pour le traitement des symptômes respiratoires. Voici quelques bienfaits potentiels de l'extrait de lierre pour les inflammations des voies respiratoires : Propriétés expectorantes : L'extrait de lierre peut aider à fluidifier et à expulser le mucus des voies respiratoires, ce qui peut être bénéfique en cas de toux grasse associée à des infections comme la bronchite. Effet bronchodilatateur : Il peut également aider à détendre et à ouvrir les voies respiratoires, facilitant ainsi la respiration chez les personnes souffrant de conditions telles que l'asthme. Propriétés antispasmodiques : L'extrait de lierre peut réduire les spasmes musculaires dans les voies respiratoires, ce qui est utile pour calmer la toux. Action anti-inflammatoire : Il peut aider à réduire l'inflammation des voies respiratoires, ce qui est bénéfique pour traiter les symptômes d'inflammation causés par des allergènes ou des irritants. Sécurité d'utilisation : L'extrait de lierre est généralement considéré comme sûr pour la plupart des gens lorsqu'il est utilisé dans les doses recommandées. Il est souvent disponible sous forme de sirops, de capsules ou de gouttes, et est utilisé aussi bien chez les adultes que chez les enfants. Il est important de noter que, bien que l'extrait de lierre puisse offrir des avantages pour les symptômes des voies respiratoires, il ne doit pas remplacer les traitements prescrits par un professionnel de santé pour des conditions plus graves. De plus, avant de commencer tout nouveau traitement, y compris des remèdes à base de plantes, il est recommandé de consulter un professionnel de santé pour s'assurer qu'il est approprié et sûr pour votre situation spécifique. Mécanisme Le mécanisme d'action de l'extrait de lierre (Hedera helix) est principalement lié à ses composants saponines, qui sont des substances actives ayant plusieurs effets bénéfiques sur les voies respiratoires. Voici quelques éléments clés sur le fonctionnement de cet extrait : Effet expectorant : Les saponines présentes dans l'extrait de lierre ont la capacité de fluidifier le mucus, facilitant ainsi son expulsion. Elles stimulent les sécrétions des glandes bronchiques pour rendre le mucus moins visqueux et plus facile à évacuer. Effet bronchodilatateur : Les recherches suggèrent que les saponines peuvent également aider à détendre les muscles lisses des bronches, conduisant à une dilatation (ouverture) des voies aériennes. Cela peut aider à améliorer la respiration chez les personnes souffrant de conditions obstructives telles que l'asthme. Propriétés antispasmodiques : L'extrait de lierre aide à réduire les spasmes des muscles lisses des bronches, ce qui peut être particulièrement utile pour soulager la toux spasmodique. Action anti-inflammatoire : Bien que moins documentée, l'action anti-inflammatoire de l'extrait de lierre pourrait être due à la modulation de diverses voies inflammatoires par les saponines, aidant ainsi à réduire l'inflammation des voies respiratoires. Les études sur l'extrait de lierre suggèrent qu'il est efficace et sûr lorsqu'il est utilisé selon les recommandations. Cependant, la recherche continue pour mieux comprendre tous les mécanismes par lesquels l'extrait de lierre exerce ses effets et pour confirmer son efficacité et son profil de sécurité dans diverses populations. Comme pour toute intervention thérapeutique, il est recommandé de consulter un professionnel de santé avant d'ajouter l'extrait de lierre à votre régime de soins, surtout si vous êtes déjà sous traitement pour des troubles respiratoires. Effets secondaires Bien que l'extrait de lierre (Hedera helix) soit généralement considéré comme sûr pour la plupart des gens, il existe quelques effets secondaires potentiels à noter, surtout lorsqu'il est utilisé en dehors des doses recommandées. Voici les principaux effets secondaires observés : Réactions allergiques : Certaines personnes peuvent être allergiques à l'extrait de lierre, ce qui peut entraîner des réactions telles que des éruptions cutanées, des démangeaisons, des rougeurs de la peau, ou de l'urticaire. Dans de rares cas, des réactions plus graves comme un œdème de Quincke ou un choc anaphylactique peuvent survenir. Troubles gastro-intestinaux : Comme avec de nombreux produits à base de plantes, l'extrait de lierre peut provoquer des troubles gastro-intestinaux, tels que des nausées, des vomissements, ou de la diarrhée, surtout si pris en grande quantité. Irritation cutanée : L'application topique d'extrait de lierre peut parfois provoquer une irritation de la peau chez certaines personnes. Problèmes respiratoires : Bien que rare, l'inhalation directe de certains produits contenant de l'extrait de lierre peut provoquer des symptômes respiratoires chez les personnes sensibles, notamment des difficultés respiratoires ou de l'asthme. Il est important de respecter les dosages recommandés et de consulter un professionnel de santé avant d'utiliser l'extrait de lierre, surtout si vous avez des conditions médicales préexistantes, si vous êtes enceinte ou allaitante, ou si vous prenez d'autres médicaments. En cas de réaction indésirable, il est conseillé de cesser l'utilisation et de consulter un professionnel de santé. Conclusion Ivylin est un médicament vendu librement en pharmacies ou drogueries. Il est efficace et bien toléré lorsqu'il est utilisé au dosage recommandé. Ses indications principales sont les inflammations des voies respiratoires associées à de fortes toux. Toux convulsives. Son efficacité a été démontrée dans de nombreuses études. Très rapidement la toux cesse et le mucus se fluidifie. Ivylin a aussi une bonne action sur la douleur et l'irritation de la gorge. La durée du traitement dépend de la symptomatologie mais en général, la plupart des symptômes s'atténue ou disparaissent après 48 h. Si après 3 jours l'efficacité d'Ivylin n'a pas été démontrée, veuillez consulter votre médecin. Next La toux Un reflexe naturel important La toux est un réflexe important du corps humain, qui joue un rôle crucial dans la protection des voies respiratoires et le maintien de la santé pulmonaire. Elle peut être causée par de nombreux facteurs et implique plusieurs mécanismes physiologiques. Voici une explication des principales raisons de l'apparition de la toux et de ses mécanismes : ​ Raisons de la toux Infections respiratoires : La cause la plus fréquente de la toux est une infection virale ou bactérienne, comme un rhume, une grippe, ou une bronchite. Ces infections irritent les voies respiratoires et provoquent la toux. Allergies : Les allergènes tels que le pollen, la poussière ou les poils d'animaux peuvent provoquer une réaction allergique entraînant une toux due à l'irritation des voies aériennes. Asthme : L'asthme se caractérise par des épisodes de toux, souvent déclenchés par des allergènes, le froid, ou l'exercice physique, en raison de l'inflammation et du rétrécissement des voies respiratoires. Irritants environnementaux : La fumée, les produits chimiques, la pollution et d'autres irritants peuvent déclencher la toux comme mécanisme de défense pour éliminer ces substances des voies respiratoires. Reflux gastro-œsophagien (RGO) : Le RGO peut entraîner une toux lorsque le contenu acide de l'estomac remonte dans l'œsophage et irrite la gorge ou les voies respiratoires. Médicaments : Certains médicaments, notamment les inhibiteurs de l'ECA utilisés pour traiter l'hypertension, peuvent provoquer une toux sèche comme effet secondaire. Mécanismes de la toux La toux suit un processus physiologique spécifique : Stimulation des récepteurs : Les récepteurs sensoriels situés dans les voies respiratoires sont stimulés par des irritants, des infections, ou des inflammations. Signal au cerveau : Les signaux sont envoyés au cerveau, en particulier au centre de la toux dans le tronc cérébral. Réponse motrice : Le cerveau répond en envoyant des signaux aux muscles de la poitrine et de l'abdomen, initiant un effort respiratoire rapide et expulsif. Expulsion de l'air : L'air est expulsé des poumons à grande vitesse, emportant avec lui mucus, agents pathogènes, et particules irritantes. Ce réflexe complexe est essentiel pour garder les voies respiratoires dégagées et protéger les poumons contre les infections et les dommages. La toux chronique ou prolongée nécessite souvent une évaluation médicale pour en déterminer la cause sous-jacente et obtenir un traitement approprié. ​ Avec Ivylin, Lagap SA vous apporte un soutien non négligeable. Ivylin par son action rapide et efficace permet une réduction importante des effets de la toux en 24 heures. De plus Ivylin est tout à fait agréable à absorber surtout s'il est administré aux enfants. Quel enfant n'aime pas le miel ! Et pour nous adultes, cet arôme, si sympatique, est ancrée dans nos mémoires. par Bahjat Moussalli 22.05.2024 Next

  • CardiologyPDF English | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    Cardiology leaflets PDF Thank you for further information. Below you will find the corresponding package inserts for the medicines mentioned. retour Diuretics Diuresal tablets When the PDF is open, to return to the page, click on the X in the last upper tab. Beta-blockers Bedranol tablets Selobloc tablets

  • Rhumalgan K | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    Rhumalgan K retour OTC Sachet contenant 50 mg de Diclofénac potassique La présentation de 10 sachets est vendue librement en pharmacie sous conseil d'un professionnel de la santé Inflammations, douleurs menstruelles , migraines, douleurs dentaires Le diclofénac K, ou diclofénac potassique, est une forme de diclofénac qui est souvent utilisée pour son action rapide dans le soulagement de la douleur. Il appartient à la classe des médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), utilisés pour traiter la douleur et l'inflammation. Forme et utilisation ​ Le diclofénac K en poudre pour solution buvable est conçu pour être dissous dans l'eau et bu, ce qui peut permettre une absorption plus rapide comparée aux formes solides comme les comprimés. Cette formulation est particulièrement utile pour les personnes qui ont du mal à avaler des pilules. ​ Indications Il est généralement prescrit pour le traitement de divers types de douleurs aiguës, telles que les douleurs musculaires, les douleurs dentaires, les migraines, les dysménorrhées (douleurs menstruelles) ou les douleurs suite à une chirurgie. Il peut également être utilisé pour traiter les symptômes de l'arthrite, comme l'inflammation et la douleur. ​ Dosage Le dosage de diclofénac K peut varier selon l'âge du patient, la gravité de la douleur, et d'autres facteurs médicaux. Il est important de suivre la posologie prescrite par un professionnel de la santé et de ne pas dépasser la dose recommandée et de lire attentivement la notice d'emballage. ​ Précautions Comme pour tous les AINS, le diclofénac K peut causer des effets secondaires, notamment des troubles gastro-intestinaux tels que des ulcères ou des saignements, des problèmes rénaux, et des réactions allergiques. Il est contre-indiqué chez les personnes ayant des antécédents de troubles gastro-intestinaux sévères, de maladie cardiaque ou de maladie rénale. ​ Il est crucial de consulter un professionnel de santé avant de commencer le traitement pour s'assurer que le diclofénac est approprié pour votre condition et pour discuter de toute interaction potentielle avec d'autres médicaments que vous pourriez prendre. ​ Interactions Le diclofénac peut interagir avec d'autres médicaments et augmenter le risque d'effets secondaires, notamment avec certains anticoagulants, d'autres AINS, et des médicaments contre l'hypertension. Si vous envisagez d'utiliser le diclofénac K en poudre pour solution buvable, il est recommandé de le faire sous la supervision d'un professionnel de la santé pour minimiser les risques et assurer une gestion efficace de la douleur. ​ Conclusions Rhumalgan K poudre est un médicament OTC vendu en pharmacie sous forme de poudre pour solution buvable. ​ Rhumalgan K poudre agit rapidement. ​ Il ne doit pas être utilisé chez les moins de 18 ans sans avis du médecin. Veuillez suivre scrupuleusement le mode d'emploi de la notice et/ou vous informer auprès d'un spécialiste de la santé. Les dysménorrhées par Elisabetta Bocci ​ 12.05.2024 Généralités Les dysménorrhées, plus communément appelées douleurs menstruelles, sont des douleurs pelviennes qui surviennent avant ou pendant la période menstruelle d'une femme. Elles peuvent varier en intensité de légères à sévères et sont l'une des affections gynécologiques les plus fréquentes. ​ Origines Les dysménorrhées sont généralement classées en deux types : Dysménorrhée primaire : Elle concerne les douleurs qui ne sont pas associées à une autre maladie. Les douleurs surviennent souvent dès les premières menstruations et peuvent s'améliorer avec l'âge ou après la grossesse. La cause est souvent liée à la production de prostaglandines, des substances qui provoquent la contraction utérine, l'expulsion du revêtement utérin et peuvent entraîner des douleurs. Dysménorrhée secondaire : Elle est associée à des troubles gynécologiques, tels que l'endométriose, les fibromes utérins, l'adénomyose, les infections pelviennes ou les malformations congénitales. Ces conditions peuvent provoquer une inflammation, des cicatrices ou des obstructions qui exacerbent la douleur pendant les menstruations. ​ Problèmes Les dysménorrhées peuvent sérieusement affecter la qualité de vie des femmes, entraînant des problèmes tels que : Incapacité à participer à des activités quotidiennes normales Absentéisme scolaire ou professionnel Symptômes associés comme des nausées, des maux de tête, de la fatigue, et des troubles digestifs Impact émotionnel et psychologique, y compris stress et anxiété ​ ​ Traitements Le traitement des dysménorrhées varie selon leur type et leur sévérité : Traitements pour la dysménorrhée primaire : Médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) : Ces médicaments, tels que l'ibuprofène ou le naproxène, aident à réduire la production de prostaglandines et à soulager la douleur. Contraceptifs hormonaux : Les pilules contraceptives, les patchs, les anneaux vaginaux ou les dispositifs intra-utérins libérant des hormones peuvent réduire la fréquence et la sévérité des douleurs en supprimant l'ovulation. Thérapies complémentaires : Certaines femmes trouvent du soulagement avec des méthodes comme le yoga, l'acupuncture, les applications de chaleur, et les changements diététiques. Traitements pour la dysménorrhée secondaire : Traitement de la condition sous-jacente : Par exemple, la chirurgie peut être nécessaire pour l'endométriose ou les fibromes. Gestion de la douleur : En plus des AINS, des analgésiques plus forts ou des thérapies spécifiques peuvent être requis. ​ Conclusions Il est important pour toute femme souffrant de dysménorrhées sévères ou persistantes de consulter un professionnel de santé pour un diagnostic approprié et un plan de traitement adapté. Next

  • Irona | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    Irona retour COMPLEMENT 20 STICKS à 1.5 g DE POUDRE INSTANTANNEE BUVABLE INFORMATIONS NUTRITIONNELLES par 1 g valeur énergétique ​ protéïnes ​ glucides ​ lipides 7.357kcal 36.54 kJ ​ 0.018 g ​ 0.187 g ​ 0.036 g par dose (2 capsules de 325 mg ) 2.392 kcal 10.15 kJ ​ 0.05 mg ​ 0.52 mg ​ 0.10 mg Chaque capsule contient: Lactobacillus Crispatus (1 MM ufc); Lactobacillus Rhamnosus (1 MM ufc); Lactobacillus Gasseri (0.3 MM ufc); Lactobacillus Jensenii (0.2 MM ufc); Excipients: fructo-oligosaccharides; hydroxypropyl-méthylcellulose, amidon de mais; magnésium stéarate naturel, dioxyde de silicon; oxyde de titanium (E171). Dosage: traitement (2 capsules de 325 mg / jour)) maintien / prévention : 1 à 2 capsules / jour répartition des capsules dans la journée à des heures fixes. Le fer liposomial encapsulé fer. Région hydrophobe Chaînes carbonées non polaires Région hydroliphique Pôle céphalique Augmente l'absorption Améliore la résorption gastro-intestinale Permet une absorption équilibrée Diminue les risques d'effets secondaires Le manque de fer Origines Le manque de fer, ou carence en fer, est un problème de santé courant qui peut avoir plusieurs origines et conduire à diverses conséquences. Voici un aperçu des causes principales et des effets de cette carence sur l'organisme : ​ Alimentation insuffisante en fer : Une alimentation pauvre en fer, notamment chez les végétariens ou ceux qui ne consomment pas suffisamment de viandes rouges, légumes à feuilles vertes, fruits secs, et légumineuses, peut mener à une carence. Absorption réduite : Des troubles digestifs tels que la maladie cœliaque ou la maladie de Crohn peuvent réduire la capacité du corps à absorber le fer des aliments. Perte de sang accrue : Les menstruations abondantes chez les femmes, les dons de sang fréquents, ou des saignements internes (comme ceux causés par des ulcères gastriques) peuvent entraîner une perte importante de fer. Besoins accrus : La grossesse, l'allaitement, et les périodes de croissance rapide (comme l'enfance et l'adolescence) augmentent les besoins en fer du corps. Maladies chroniques : Certaines maladies chroniques, comme l'insuffisance rénale ou l'inflammation, peuvent interférer avec le métabolisme du fer. Conséquences de la carence en fer Anémie ferriprive : La conséquence la plus connue de la carence en fer est l'anémie ferriprive, caractérisée par une réduction de la production d'hémoglobine, la protéine des globules rouges responsable du transport de l'oxygène. Cela se manifeste par une fatigue, une pâleur, des vertiges, et une faiblesse générale. Problèmes cognitifs et développementaux : Chez les enfants, une carence en fer peut retarder le développement psychomoteur et cognitif. Chez les adultes, elle peut affecter la concentration et les performances mentales. Complications de la grossesse : Le manque de fer pendant la grossesse peut conduire à des naissances prématurées, à un faible poids à la naissance et à des complications lors de l'accouchement. Diminution de l'immunité : Le fer est crucial pour le bon fonctionnement du système immunitaire; une carence peut rendre l'organisme plus vulnérable aux infections. Problèmes de régulation de la température : Certaines personnes souffrant de carence en fer éprouvent des difficultés à maintenir leur température corporelle, ressentant un froid excessif. Prévention et traitement La prévention et le traitement de la carence en fer impliquent généralement l'adoption d'une alimentation riche en fer ou la prise de suppléments de fer après consultation médicale. Il est aussi important de traiter les causes sous-jacentes de la carence, comme les troubles digestifs ou les saignements internes. Une surveillance régulière des niveaux de fer peut être nécessaire pour certaines personnes à risque. La gestion du manque de fer est essentielle pour maintenir une bonne santé générale et éviter les conséquences à long terme. Irona est un complément alimentaire qui peut aider l'apport en fer lors de carences de petites ampleurs. Il s'absorbe directement par la bouche. la poudre contenue dans les sachets se dissout immédiatement au contact avec la salive. Irona contient du fer encapsulé qui est plus efficace que du fer normal. Irona contient en sus des vitamines, des minéraux qui augmentent l'absorption du fer et complètent son apport. Irona est dépourvu de glutènes et de lactoses. Effets secondaires Irona est bien toléré. Le dosage doit respecté. Mais même lorsque la tolérance du produit est considérée comme excellente, il est judicieux de connaître l'avis d'un professionnel de la santé et ce surtout si l'affection est récurrente ou surgit dans des situations particulières. Conclusion Irona est une préparation innovante permettant un apport en fer comme prévention. L'ajout de vitamines et d'oligo-éléments ainsi que d'acide folique en font un adjuvant utile chez la femme à tout âge. Le professionnel de la santé, à commencer par le gynécologue sont les mieux informés pour vous proposer les mesures adéquates à mettre en pratique. Une nourriture équilibrée riche en éléments indispensables à créer l'équilibre idéal du bon fonctionnement organique est à la base de tout apport nutritif en suffisance. Irona complémente un manque pouvant être dû à des circonstances particulières ou après certaines maladies. Que faire en cas d'anémie Prévenir les carences en fer L'anémie ​ L'anémie est une condition médicale caractérisée par un manque de globules rouges sains ou par une insuffisance de l'hémoglobine dans le sang, ce qui peut entraîner une réduction de l'oxygène transporté aux organes et tissus du corps. Voici quelques étapes générales à suivre en cas de suspicion d'anémie : ​ Consultez un médecin : Si vous pensez souffrir d'anémie, il est important de consulter un professionnel de la santé pour un diagnostic précis. L'anémie peut être le symptôme de nombreuses conditions médicales, certaines pouvant être graves. ​ Tests et examens : Le médecin pourra recommander des tests sanguins pour confirmer l'anémie et en déterminer le type (comme l'anémie ferriprive, l'anémie mégaloblastique, etc.). Ces tests aideront également à identifier la cause sous-jacente. ​ Traitement : Le traitement de l'anémie dépend de sa cause. Par exemple, l'anémie due à une carence en fer peut nécessiter des suppléments de fer, tandis que d'autres types d'anémie peuvent nécessiter des vitamines B12 ou de l'acide folique. Dans certains cas, le traitement de la condition sous-jacente est nécessaire pour corriger l'anémie. ​ Alimentation et style de vie : Une alimentation équilibrée riche en fer, en vitamine B12, et en acide folique peut aider. Les aliments comme la viande rouge, les légumes verts à feuilles, les noix et les fruits secs sont de bonnes sources de ces nutriments. ​ Suivi régulier : Une surveillance régulière par des analyses sanguines est souvent nécessaire pour évaluer l'efficacité du traitement et ajuster selon les besoins. ​ ​ Prévention : La prévention de l'anémie comprend une alimentation saine et, dans certains cas, la prise de suppléments alimentaires si recommandé par un professionnel de santé. ​ ​ En résumé, l'anémie nécessite une approche médicale pour en identifier la cause et adapter le traitement. Une bonne communication avec votre médecin est cruciale pour gérer efficacement cette condition. ​ Conclusion Irona est un bon complément alimentaire qui associé aux nutriments équilibrés et riches en oligo-éléments et vitamines permet de compenser l'anémie associée aux menstruations par exemple, à une nourriture moins bien équilibrée lors d'un long voyage, la période climatérique chez la femme, etc... par Elisabetta Bocci 18.05.2024 Next

  • NOS PRODUITS | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    une gamme élargie divisée en 3 groupes Des médicaments pour tous , pour tout âge, pour de nombreuses indications. Antibiotiques, anti-rhumatismaux, anti-diabétiques, cardiovasculaires, anti-histaminiques, la gamme de Lagap est large. Vendus dans plus de 25 pays, ceux-ci sont des médicaments de prescription dont la publicité n'est pas autorisée pour le grand public. ​ Lagap offre aussi une gamme intéressante d'OTC (médicaments vendus en pharmacie sans ordonnance) et de compléments alimentaires . ​ Le dernier groupe exploité par Lagap est le groupe des dispositifs médicaux, comme les tests à pratiquer à domicile (test de grossesse, test d'ovulation entre-autres). Consultez notre portfolio pour en savoir plus Porfolio les médicaments de prescription Les médicaments de prescription de Lagap ne sont pas vendus dans tous les pays mais parmi eux certains sont connus depuis des décennies comme Doxylag, Ipocol, Librocol, Melix, Metrolag, Trilagavit, ​ D'autres plus récents font aussi parties de la gamme Lagap. Parmi eux nous pouvons citer Amoxidin Plus, Desladin, Levex, Melital, Orlin, Rhumalgan, et bien d'autres. les médicaments en ventes libres et les compléments alimentaires Cette gamme est l'une des plus connues avec des produits phares comme: Ivylin (un anti-toussif naturel); Intimeo (un probiotique utilisé dans la prévention des infections des voies urinaires); dMannosa (dmannose) pour soigner les UTI ; Swissheal (un cicatrisant local); Electrona ORS (un complément d'électrolytes dans la prévention de la déshydratation chez les enfants). compléments les dispositifs médicaux Pendant plus d'une dizaine d'années Lagap a vendu des tests rapides aux cabinets médicaux et aux hôpitaux. Aujourd'hui, après ces années d'expérience et une évolution de marché drastique, le choix se veut plus restreint mais aussi plus innovateur. ​ L'introduction d'un test digital avec une fiabilité de près de 100% permettant l'utilisation d'un seul moniteur pour plusieurs types de recherches (monitoring) et d'analyses et de surcroît à pratiquer à domicile devient une priorité. Primeview digital

  • otorhinolaryngologie  pneumologie | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    Otorhinolaryngologie Pneumologie Pour toutes vos réparations retour Les anti-histaminiques Les anti-toussifs Les expectorants Les anti-asthmatiques Les antibiotiques Les anti-infectieux L'asthme toujours plus fréquent ? ​ par Elisabetta Bocci 29.05.2024 L'asthme Origines, manifestations, traitements et gestion Introduction L'asthme est une maladie respiratoire chronique qui affecte des millions de personnes dans le monde. Sa prévalence est en augmentation, probablement en raison de divers facteurs environnementaux et socio-économiques. En tant que médecin généraliste, il est crucial de comprendre les différents aspects de cette maladie pour offrir une prise en charge optimale aux patients. Origines et causes Facteurs Génétiques : L'hérédité joue un rôle significatif dans le développement de l'asthme. Les antécédents familiaux d'asthme ou d'autres maladies atopiques (comme l'eczéma et la rhinite allergique) augmentent le risque de survenue de la maladie. Facteurs Environnementaux : Allergènes : Les allergènes domestiques tels que les acariens, les moisissures, les pollens et les squames d'animaux sont des déclencheurs fréquents. Polluants Atmosphériques : L'exposition à des niveaux élevés de pollution de l'air, de fumée de tabac et de produits chimiques industriels peut exacerber les symptômes d'asthme. Infections Respiratoires : Les infections virales pendant l'enfance, en particulier celles causées par le virus respiratoire syncytial (VRS), sont associées à un risque accru d'asthme. Hypothèse Hygiéniste : Cette théorie propose que la diminution de l'exposition aux agents infectieux dans les pays industrialisés a conduit à une augmentation des maladies atopiques, y compris l'asthme. Manifestations cliniques Les symptômes de l'asthme peuvent varier en fréquence et en gravité : Toux : Souvent nocturne ou matinale. Sifflements : Présence de sibilances lors de l'expiration. Dyspnée : Sensation d'essoufflement. Oppression Thoracique : Sensation de constriction au niveau du thorax. Diagnostic Le diagnostic de l'asthme repose sur un ensemble d'éléments cliniques et paracliniques : Anamnèse : Rechercher des antécédents familiaux d'atopie, des symptômes déclenchés par des allergènes ou des efforts physiques, et des variations saisonnières. Examen Physique : Identifier les signes cliniques comme les sibilances, l'hyperinflation thoracique. Explorations Fonctionnelles Respiratoires (EFR) : Spirométrie : Mesure du VEMS et du rapport VEMS/CVF avant et après bronchodilatateur. Test de Réversibilité : Amélioration du VEMS de plus de 12% et de 200 ml après inhalation de bronchodilatateur. Peak Flow : Mesure du débit expiratoire de pointe pour évaluer la variabilité des symptômes. Traitements Traitement de Fond : Corticostéroïdes Inhalés (CSI) : Traitement de première ligne pour réduire l'inflammation bronchique. Bêta-2 Agonistes à Longue Durée d'Action (LABA) : Utilisés en combinaison avec les CSI pour améliorer le contrôle des symptômes. Antagonistes des Récepteurs des Leucotriènes : Alternatifs ou complémentaires aux CSI. Traitement de Secours : Bêta-2 Agonistes à Courte Durée d'Action (SABA) : Utilisés pour le soulagement rapide des symptômes aigus. Anticholinergiques Inhalés : Utilisés en cas de crise sévère ou comme complément au SABA. Thérapies Biologiques : Indiquées pour les asthmes sévères réfractaires aux traitements classiques (par exemple, les anti-IgE, les anti-IL-5). Gestion et prévention Éducation du Patient : Importance de la reconnaissance et de l'évitement des déclencheurs, utilisation correcte des inhalateurs, et adhésion aux traitements. Plan d'Action Personnalisé : Élaborer un plan écrit pour la gestion des crises d'asthme, incluant les étapes à suivre en cas d'exacerbation. Vaccinations : Préconiser la vaccination antigrippale et antipneumococcique pour réduire le risque d'infections respiratoires. Suivi Régulier : Contrôler l'évolution de la maladie, ajuster les traitements, et vérifier la technique d'inhalation lors des consultations de suivi. Conclusion L'asthme est une maladie complexe nécessitant une approche multidisciplinaire pour une gestion efficace. En tant que médecin généraliste, il est crucial de rester informé des dernières avancées en matière de traitement et de gestion de l'asthme pour améliorer la qualité de vie des patients. Une prise en charge personnalisée, basée sur une évaluation complète et un suivi régulier, est essentielle pour contrôler cette maladie chronique et prévenir les exacerbations. Lagap SA offre une gamme intéressante d'anti-asthmatiques dont une est tout spécialement adaptée par ses galéniques aux enfants même en bas âge. Next

  • cardiologie | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    cardiologie retour En cliquant sur la photo de l'emballage vous obtiendrez la notice complète du médicament Les diurétiques PDF Les hypolipémiants PDF Les hypotenseurs et antivertigineux et antimigraineux PDF Les bêta-bloquants ​ PDF Les anticoagulants PDF Au dernières nouvelles Prévenir les problèmes cardiovasculaires L'exercice physique ? Prévenir les complications cardiovasculaires ... I. Oui mais pas n'importe comment par Hans Zemp ​ 08.05.2024 Introduction à la santé cardiovasculaire La santé cardiovasculaire est un pilier central du bien-être général, affectant tous les aspects de notre vie quotidienne. Des maladies telles que les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et l'hypertension artérielle sont des menaces significatives qui peuvent souvent être prévenues par des mesures appropriées. Cet article explore les meilleures pratiques pour maintenir votre cœur en bonne santé, sans prendre de risques inutiles. L'importance de garder la forme L'exercice régulier est l'un des moyens les plus efficaces de renforcer la santé du cœur. Des activités comme la marche rapide, la natation ou le vélo stimulent la circulation sanguine et améliorent la fonction cardiaque. Il est recommandé de pratiquer au moins 150 minutes d'activité aérobique modérée chaque semaine. Cependant, il est crucial de choisir des exercices adaptés à votre niveau de santé actuel et à vos objectifs spécifiques. Les bonnes pratiques : pas n'importe comment Avant de commencer un nouveau programme d'exercices, surtout si vous avez des antécédents de problèmes cardiovasculaires, il est essentiel de consulter un professionnel de santé. Un suivi approprié permet de personnaliser votre programme d'exercices et d'éviter les pratiques excessives qui pourraient être plus nuisibles que bénéfiques. Alimentation et mode de vie Une alimentation équilibrée joue également un rôle crucial dans la prévention des maladies cardiovasculaires. Intégrer des aliments riches en fibres, en antioxydants et pauvres en graisses saturées peut réduire significativement le risque de maladies cardiaques. De plus, des habitudes comme un sommeil suffisant, une réduction du stress et l'arrêt du tabac complètent efficacement votre régime d'exercices. Suivi médical régulier La prévention des complications cardiovasculaires ne s'arrête pas à la maison. Des examens médicaux réguliers sont essentiels pour surveiller l'état de votre cœur et détecter tout problème potentiel avant qu'il ne devienne grave. Ce suivi peut inclure des tests de cholestérol, de pression sanguine, et d'autres évaluations pertinentes. Conclusion Adopter une approche équilibrée pour maintenir votre forme physique est la clé pour prévenir les complications cardiovasculaires. En combinant exercice régulier, bonne alimentation et suivi médical, vous pouvez profiter d'une vie plus saine et plus active. N'oubliez pas, cependant, que chaque personne est unique : écoutez votre corps et ajustez vos habitudes en conséquence pour assurer une protection optimale de votre santé cardiovasculaire. II. Les meilleurs exercices et activités qui stimulent l'appareil circulatoire 1. La natation Ce n’est pas nouveau ! La natation est le sport préféré des médecins. Et c’est l’entraînement parfait. En plus de faire travailler tous les muscles de son corps, la natation est un sport d’endurance qui améliore la capacité cardio-vasculaire. C’est l’idéal pour la santé du cœur et cela protège aussi le cerveau contre le déclin lié à l’âge. C’est une activité sportive sans impact sur les articulations. Nager régulièrement pendant au moins 30 à 45 minutes permet aussi de lutter contre la dépression et réduit le stress. 2. Le taï-chi Le taî-chi, aussi appelé tai-chi-chuan, est un art martial chinois qui combine une série de mouvements fluides et gracieux, pour créer une sorte de méditation en mouvement. L’exercice est effectué lentement et doucement avec un degré élevé de concentration et une attention particulière sur la respiration. Puisque les pratiquants vont à leur propre rythme, le taî-chi est accessible à une grande variété de personnes, quels que soient leur âge et leur condition physique. Le taî-chi est une activité physique particulièrement adaptée pour les personnes âgées. 3. La marche Cela peut sembler insignifiant, mais marcher peut être un remède puissant à bien des petits maux. Plusieurs études suggèrent que marcher pendant au moins 30 minutes – même à un rythme modéré ou tranquille – est intéressant pour le cerveau et le corps. Une étude récente a montré, chez des personnes âgées de 60 à 88 ans, que le fait de marcher une demi-heure, quatre jours par semaine, pendant 12 semaines, améliorait la mémoire. Si vous ne faites pas d’exercice régulièrement, les scientifiques de Harvard recommandent de commencer par des randonnées de 10 à 15 minutes avant de passer à 30 ou 60 minutes de marche. 4. Les exercices de Kegel Les exercices de Kegel aident à renforcer un groupe de muscles communément appelés le « plancher pelvien ». En vieillissant, ces muscles, qui entourent et soutiennent la vessie, l’intestin grêle, le rectum, ainsi que l’utérus chez les femmes, peuvent commencer à s’affaiblir. Les tonifier permet d’éviter des accidents embarrassants qui surviennent parfois avec l’âge, comme des fuites urinaires. La bonne façon de réaliser les exercices de Kegel consiste à faire travailler son périnée, comme si l’on voulait se retenir au moment d’aller aux toilettes. Il est recommandé de maintenir la contraction pendant deux à trois secondes, de relâcher et de recommencer dix fois. Pour de meilleurs résultats, il faut pratiquer l’exercice quatre à cinq fois par jour. 5. Le vélo Cette activité d’endurance optimise le travail du cœur si elle est pratiquée régulièrement. En plus de faire baisser la tension artérielle, le vélo fait travailler les hanches, les genoux et les chevilles, tout en préservant les articulations. Le pédalage favorise le retour veineux dans les membres inférieurs. Le vélo est donc indiqué dans les problèmes de jambes lourdes. Next

  • THEMATIQUE (gynécologie) | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    Gynécologie Up retour Les infections des voies urinaires chez la femme par Marius Blanc 08.05.2024 Les IVU chez la femme Les infections des voies urinaires (IVU) chez les femmes est un sujet qui touche de nombreuses personnes. Les IVU sont fréquentes et peuvent affecter n'importe qui, mais elles sont plus courantes chez les femmes pour des raisons anatomiques. Nous allons développer cet article en trois sections principales: les origines, les conséquences, et les conseils de prévention et de traitement. Origines des infections des voies urinaires chez la femme Les infections des voies urinaires sont généralement causées par des bactéries qui entrent dans l'urètre et remontent jusqu'à la vessie. Chez les femmes, l'urètre est plus court que chez les hommes, ce qui facilite l'accès des bactéries à la vessie. La majorité des IVU sont causées par la bactérie Escherichia coli (E. coli), normalement présente dans l'intestin. D'autres bactéries, comme Staphylococcus saprophyticus, peuvent également être responsables. Facteurs de risque Anatomie féminine: Comme mentionné, l'urètre plus court chez les femmes facilite l'entrée des bactéries. Activité sexuelle: Les relations sexuelles peuvent introduire des bactéries dans les voies urinaires. Utilisation de certains types de contraception: Les diaphragmes et les spermicides peuvent augmenter le risque d'IVU. Changements hormonaux: Les fluctuations hormonales pendant la ménopause peuvent affecter la flore bactérienne et la protection naturelle des voies urinaires. Conséquences des infections des voies urinaires Les IVU non traitées peuvent conduire à des complications plus graves, notamment: Cystite: Une infection de la vessie peut causer de l'inconfort, une sensation de brûlure pendant la miction, une fréquence accrue d'urination, et parfois du sang dans les urines. Pyrélonéphrite: Une infection du rein qui peut survenir lorsque l'infection se propage du bas vers le haut des voies urinaires. Les symptômes incluent des douleurs au dos ou sur le côté, de la fièvre, et des frissons. Sepsis: Dans des cas rares, une IVU peut devenir une infection du sang, mettant la vie en danger si elle n'est pas traitée rapidement. Conseils de prévention et de traitement Prévention Hydratation: Boire beaucoup d'eau aide à diluer l'urine et à évacuer les bactéries du système urinaire. Hygiène: Se laver et s'essuyer de l'avant vers l'arrière pour éviter la propagation des bactéries de l'anus à l'urètre. Vider la vessie régulièrement: Éviter de retenir l'urine peut aider à réduire le risque d'IVU. Cranberry (canneberge): Certaines études suggèrent que le jus de canneberge peut prévenir les infections urinaires en empêchant les bactéries de se fixer aux parois de la vessie. dMannose est un sucre qui est contenu dans la canneberge et d'autre plantes et arbustes. Ces propriétés sont connues depuis des siècles mais ce n'est seulement ces dernières décennies que des études scientifiques ont permis de révéler tout son potentiel. dMannose peut prévenir et traiter les IVU dans la majorité des cas non récurrents. Traitement Antibiotiques: Les IVU sont généralement traitées avec des antibiotiques. Il est important de suivre le traitement prescrit par un professionnel de santé, même si les symptômes disparaissent avant la fin du traitement. Analgésiques: Des médicaments contre la douleur peuvent être utilisés pour soulager les symptômes en attendant que les antibiotiques fassent effet. En conclusion, bien que les infections des voies urinaires soient courantes et souvent douloureuses, la plupart peuvent être prévenues et efficacement traitées avec des soins appropriés. L'éducation sur les pratiques d'hygiène et la consultation précoce en cas de symptômes sont essentielles pour gérer et prévenir les complications des IVU chez les femmes. Lagap SA avec sa gamme complète de traitements des infections des voies urinaires couvre la majorité des besoins lors d'IVU. Visitez les pages de ce site qui leur sont consacrées. Next

  • neurologie | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    Neurologie retour Les myorelaxants Les sédatifs Les neurotoniques Les anticholinergiques Pourquoi un myorelaxant ? ​ par Malek Ben Mansour 22.05.2024 Polémique à propos de l'utilisation des myorelaxants Un débat depuis "la nuit des temps" Le thème de l'utilisation des myorelaxants est un sujet qui suscite des débats dans le domaine médical. Les myorelaxants sont des médicaments utilisés pour réduire la tension musculaire et sont souvent prescrits pour traiter des conditions telles que les spasmes musculaires, la spasticité, ou certaines douleurs musculo-squelettiques. Cependant, leur utilisation n'est pas sans controverse. Voici un aperçu des principaux points de la polémique et des justifications possibles pour leur utilisation. Polémique à propos de l'utilisation des myorelaxants Efficacité et Sécurité: Efficacité variable : Certaines études ont montré que les myorelaxants ne sont pas toujours plus efficaces que les traitements placebo ou que d'autres types de médicaments pour certaines conditions. Effets secondaires : Les myorelaxants peuvent provoquer des effets secondaires importants, notamment la somnolence, la fatigue, la faiblesse musculaire, et des effets sur le système nerveux central. Ces effets peuvent limiter leur utilisation, surtout chez les patients qui ont besoin de rester actifs et alertes. Risque de dépendance : Potentiel de dépendance : Certains myorelaxants, en particulier les benzodiazépines, ont un potentiel de dépendance et d'abus. Cela pose un problème particulier pour les patients qui peuvent devenir dépendants de ces médicaments pour soulager la douleur ou l'anxiété. Protocole de traitement : Utilisation à long terme : Il y a des préoccupations concernant l'utilisation à long terme des myorelaxants, car ils sont souvent prescrits pour des périodes prolongées sans des preuves claires de leur efficacité à long terme. Alternatives de traitement : Certains professionnels de la santé préconisent l'utilisation de thérapies alternatives, telles que la physiothérapie, les exercices, ou les traitements non pharmacologiques, qui peuvent être plus sûrs et aussi efficaces pour certains patients. Justifications pour l'utilisation des myorelaxants Soulagement efficace des symptômes : Réduction des spasmes musculaires : Pour certains patients, les myorelaxants peuvent offrir un soulagement rapide et efficace des spasmes musculaires douloureux, ce qui peut améliorer la qualité de vie. Amélioration de la mobilité : En réduisant la tension musculaire, ces médicaments peuvent aider à améliorer la mobilité et la fonction physique, en particulier chez les patients souffrant de conditions comme la sclérose en plaques ou les lésions de la moelle épinière. Traitement complémentaire : Combinaison avec d'autres traitements : Les myorelaxants peuvent être utilisés en complément d'autres traitements, comme les analgésiques ou la physiothérapie, pour offrir un soulagement global plus complet des symptômes. Utilisation à court terme : Gestion de la douleur aiguë : Pour les patients souffrant de douleurs musculo-squelettiques aiguës, une utilisation à court terme des myorelaxants peut être justifiée pour contrôler la douleur et permettre une récupération plus rapide. Personnalisation du traitement : Adaptation aux besoins individuels : Certains patients peuvent répondre particulièrement bien aux myorelaxants par rapport à d'autres types de traitement, ce qui justifie une approche personnalisée en fonction des besoins et des réactions de chaque individu. Conseils: Chez les patients au traitement personnalisé et selon le dosage proposé pour la préparation prescrite, une prise unique le soir avant le couché serait idéale afin d'éviter les effets secondaires les plus fréquents et améliorerait la qualité du sommeil avec une diminution nette des contractions.​ Conclusions ​ En conclusion, bien que l'utilisation des myorelaxants soit sujette à polémique en raison de leurs effets secondaires et du potentiel de dépendance, ils peuvent néanmoins offrir des avantages significatifs pour certains patients lorsqu'ils sont utilisés de manière appropriée et sous surveillance médicale stricte. Une évaluation soigneuse des risques et des bénéfices, ainsi qu'une personnalisation du traitement, sont essentielles pour optimiser leur utilisation en pratique clinique. Next

  • rhumatologie | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    Rhumatologie Inflammations Pour toutes vos réparations retour Les arylalkanoïques Les profènes Les coxibs et inhibiteurs de la Cox-3 Les oxicams Les coxibs ​ par Marius Blanc 22.05.2024 Que dire des COX ? Danger oui ou non ? Cyclooxygénases (COX) : Un Aperçu Clinique Les cyclooxygénases (COX) sont des enzymes essentielles dans la biosynthèse des prostaglandines, médiateurs lipidiques impliqués dans diverses fonctions physiologiques et pathologiques. Leur compréhension est cruciale pour l'utilisation optimale des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et des inhibiteurs sélectifs de la COX-2 dans la pratique clinique. Types de COX et Mécanisme d'Action COX-1 (Cyclooxygénase-1) Localisation et expression : COX-1 est une enzyme constitutive, exprimée de manière continue dans de nombreux tissus, y compris la muqueuse gastrique, les reins et les plaquettes. Fonctions physiologiques : Protection de la muqueuse gastrique : Par la production de prostaglandines (PGE2 et PGI2) qui augmentent la sécrétion de mucus et de bicarbonate, et réduisent la sécrétion d'acide. Régulation du flux sanguin rénal : Maintien de la perfusion rénale, surtout en cas de stress physiologique. Agrégation plaquettaire : Synthèse de thromboxane A2 (TXA2), essentiel pour l'agrégation plaquettaire et la vasoconstriction. COX-2 (Cyclooxygénase-2) Localisation et expression : COX-2 est une enzyme inductible, principalement exprimée en réponse à des stimuli inflammatoires, comme les cytokines (IL-1, TNF-α) et les facteurs de croissance. Fonctions physiologiques et pathologiques : Médiation de l'inflammation : Production de prostaglandines pro-inflammatoires (PGE2) qui sensibilisent les nocicepteurs et augmentent la perméabilité vasculaire. Douleur et Fièvre : PGE2 contribue à la transmission de la douleur et à la régulation de la température corporelle au niveau de l'hypothalamus. Indications des Inhibiteurs de COX (et des AINS non sélectifs) AINS Non Sélectifs Médicaments : Ibuprofène, diclofénac, naproxène, aspirine. Indications : Douleurs légères à modérées (céphalées, douleurs musculaires, douleurs menstruelles). Affections inflammatoires chroniques (arthrite, tendinites). Fièvre. Prévention secondaire des événements cardiovasculaires (aspirine à faible dose). Inhibiteurs Sélectifs de la COX-2 (Coxibs) Médicaments : Célécoxib, étoricoxib. Indications : Traitement des douleurs et de l'inflammation dans l'arthrose, la polyarthrite rhumatoïde et la spondylarthrite ankylosante. Préférence chez les patients à risque élevé de complications gastro-intestinales. Effets secondaires et gestion des risques Effets secondaires des AINS non sélectifs Gastro-intestinaux : Ulcères peptiques, perforations, saignements gastro-intestinaux. Surveillance des signes d'hémorragie digestive, surtout chez les patients âgés et ceux avec des antécédents d'ulcère. Rénaux : Insuffisance rénale aiguë, néphropathie tubulo-interstitielle, syndrome néphrotique. Surveillance de la fonction rénale, surtout chez les patients déshydratés, âgés ou avec insuffisance rénale préexistante. Cardiovasculaires : Hypertension, risque accru d'événements cardiovasculaires (infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral) avec une utilisation prolongée. Effets secondaires des inhibiteurs sélectifs de la COX-2 Gastro-intestinaux : Risque réduit de complications par rapport aux AINS non sélectifs, mais toujours présents. Rénaux : Similaires aux AINS non sélectifs, avec surveillance nécessaire de la fonction rénale. Cardiovasculaires : Risque accru d'événements cardiovasculaires, en particulier chez les patients avec des antécédents de maladies cardiovasculaires. Évaluation soigneuse des risques et des bénéfices avant de prescrire. Recommandations pour la Pratique Clinique Évaluation des risques et bénéfices : toujours peser les avantages thérapeutiques contre les risques potentiels, en tenant compte des comorbidités du patient (antécédents gastro-intestinaux, rénaux, et cardiovasculaires). Stratégies de réduction des risques : Utilisation concomitante de protecteurs gastriques (IPP) chez les patients à risque gastro-intestinal élevé. Surveillance régulière de la fonction rénale et de la pression artérielle. Utilisation de la dose efficace la plus faible pour la durée la plus courte possible. Sélection du médicament : AINS non sélectifs pour une utilisation à court terme chez les patients sans comorbidités significatives. Inhibiteurs sélectifs de la COX-2 pour les patients à risque gastro-intestinal élevé, avec une évaluation soigneuse des risques cardiovasculaires. Conclusion Les inhibiteurs de la COX, qu'ils soient non sélectifs ou sélectifs, sont des outils thérapeutiques puissants pour la gestion de la douleur et de l'inflammation. Leur utilisation optimale nécessite une compréhension approfondie de leurs mécanismes d'action, de leurs indications cliniques, et de leurs profils d'effets secondaires. Une approche personnalisée, basée sur l'évaluation des risques et des bénéfices pour chaque patient, est essentielle pour maximiser les bénéfices thérapeutiques tout en minimisant les risques potentiels. Lagap SA propose un inhibiteur sélectif de la COX. Next

  • gastroentérologie | Lagap SA SwitzerlandLagap SA

    Gastroentérologie retour Les inhibiteurs de la pompe à protons Les anti-infectieux Les anticholinergiques Proctologie Les anti-diarrhéïques Les stimulateurs de la digestion Les antidopaminergiques Le foie et le pancréas Quelles affections? ​ par Bahjat Mussalli 22.05.2024 Les affections hépato-biliaires et pancréatiques ​ Affections Hépato-Biliaires 1. Hépatites Hépatite virale : Hépatite A : Transmission : Par voie fécale-orale via l'ingestion d'eau ou de nourriture contaminée. Symptômes : Fatigue, nausées, douleurs abdominales, jaunisse. Prévention : Vaccination, hygiène des mains. Traitement : Supportif, généralement autolimitée. Hépatite B : Transmission : Contact avec des fluides corporels infectés (sang, sperme). Symptômes : Symptômes similaires à l'hépatite A mais plus susceptibles de devenir chroniques. Prévention : Vaccination, précautions universelles en milieu médical. Traitement : Antiviraux pour les formes chroniques (entécavir, ténofovir). Hépatite C : Transmission : Principalement par le sang (transfusions, partages de seringues). Symptômes : Souvent asymptomatique à l'état aigu, peut évoluer vers une hépatite chronique. Prévention : Éviter le partage de matériel d'injection, surveillance des dons de sang. Traitement : Antiviraux à action directe (DAA) avec des taux de guérison élevés. Hépatite D : Transmission : Co-infection ou surinfection avec le virus de l'hépatite B. Symptômes : Aggrave l'évolution de l'hépatite B. Prévention : Vaccination contre l'hépatite B. Traitement : Traitement de l'hépatite B, peginterféron alpha. Hépatite E : Transmission : Par voie fécale-orale, souvent par l'eau contaminée. Symptômes : Symptômes similaires à l'hépatite A, peut être sévère chez les femmes enceintes. Prévention : Hygiène alimentaire, eau potable propre. Traitement : Supportif, généralement autolimitée. Hépatite alcoolique : Causes : Consommation excessive et prolongée d'alcool. Symptômes : Douleurs abdominales, jaunisse, ascite, encéphalopathie hépatique. Traitement : Arrêt de la consommation d'alcool, corticostéroïdes pour les cas sévères, transplantation hépatique en dernier recours. 2. Cirrhose Causes : Hépatite chronique (B, C), alcoolisme, stéatose hépatique non alcoolique (NASH), maladies auto-immunes. Signes cliniques : Ictère, ascite, angiomes stellaires, érythrose palmaire, gynécomastie. Complications : Hypertension portale : Provoque des varices œsophagiennes, splénomégalie. Ascite : Accumulation de liquide dans la cavité abdominale, risque de péritonite bactérienne spontanée. Encéphalopathie hépatique : Altération de la fonction cérébrale due à l'accumulation de toxines. Carcinome hépatocellulaire : Surveillance par échographie et dosage de l'alpha-foetoprotéine. Traitement : Gestion de l'hypertension portale : Bêtabloquants, ligature des varices, TIPS (shunt intra-hépatique portosystémique transjugulaire). Traitement de l'ascite : Diurétiques (spironolactone, furosémide), paracentèse. Encéphalopathie hépatique : Lactulose, antibiotiques non absorbables (rifaximine). 3. Cholestase Définition : Diminution ou arrêt du flux biliaire intra ou extra-hépatique. Causes intra-hépatiques : Hépatite virale, cirrhose, cholangite sclérosante primitive. Causes extra-hépatiques : Calculs biliaires, tumeurs, sténoses. Symptômes : Ictère, prurit, selles décolorées, urines foncées. Diagnostic : Bilirubine élevée, phosphatases alcalines, GGT, imagerie (échographie, IRM). Traitement : Dépend de la cause sous-jacente, traitement des symptômes (acide ursodésoxycholique pour le prurit). Affections Biliaires 1. Lithiase Biliaire Types de calculs : Cholestérol : Les plus fréquents, formés par précipitation du cholestérol. Pigmentaires : Moins fréquents, liés à la dégradation de l'hémoglobine. Symptômes : Coliques biliaires : Douleur intense et soudaine dans l'hypochondre droit, irradiant parfois vers l'épaule droite. Symptômes associés : Nausées, vomissements, intolérance aux aliments gras. Complications : Cholécystite aiguë : Inflammation de la vésicule biliaire, nécessitant souvent une cholécystectomie. Cholangite : Infection des voies biliaires nécessitant un traitement antibiotique et parfois un drainage biliaire. Pancréatite biliaire : Inflammation du pancréas due à un calcul biliaire bloquant le canal pancréatique. Diagnostic : Échographie abdominale : Examen de première intention. Cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE) : Pour visualiser et traiter les calculs dans les voies biliaires. Traitement : Symptomatique : Antalgiques, anti-inflammatoires. Chirurgical : Cholécystectomie, soit laparoscopique soit ouverte, est le traitement de choix pour les calculs symptomatiques. 2. Cholécystite Définition : Inflammation aiguë ou chronique de la vésicule biliaire, souvent secondaire à une lithiase. Symptômes : Douleur persistante dans l'hypochondre droit. Fièvre, nausées, vomissements. Sensibilité à la palpation (signe de Murphy positif). Diagnostic : Échographie abdominale : Épaississement de la paroi vésiculaire, présence de calculs. Tests biologiques : Leucocytose, CRP élevée. Traitement : Antibiotiques : Pour traiter l'infection. Cholécystectomie : Souvent réalisée en urgence ou après stabilisation initiale. 3. Cholangite Définition : Infection des voies biliaires, souvent due à une obstruction par un calcul. Symptômes : Triade de Charcot : Fièvre avec frissons, douleur abdominale, ictère. Pentade de Reynolds (si sévère) : Hypotension et altération de l'état mental. Diagnostic : Tests biologiques : Leucocytose, cholestase biologique (phosphatases alcalines, GGT, bilirubine). Imagerie : Échographie, TDM, ou CPRE pour confirmer le diagnostic et traiter l'obstruction. Traitement : Antibiotiques : Large spectre pour couvrir les bactéries Gram-négatives et anaérobies. Drainage biliaire : CPRE avec sphinctérotomie et extraction des calculs, drainage percutané si nécessaire. Affections Pancréatiques 1. Pancréatite Aiguë Causes : Lithiase biliaire, alcoolisme. Hypertriglycéridémie, hypercalcémie. Médicaments (certains diurétiques, azathioprine). Symptômes : Douleur épigastrique intense irradiant vers le dos. Nausées, vomissements, distension abdominale. Complications : Nécrose pancréatique : Nécrose du tissu pancréatique pouvant entraîner une infection secondaire. Pseudo-kystes : Accumulation de liquide entourée par une paroi fibreuse. Insuffisance pancréatique : Malabsorption, diabète secondaire. Diagnostic : Amylase et lipase sériques : Élevées. Imagerie : TDM abdominale pour évaluer l'étendue de la nécrose. Traitement : Supportif : Réhydratation intraveineuse, analgésiques. Nutrition : Jeûne initial suivi d'une alimentation entérale précoce si possible. Complications : Antibiotiques pour les infections, drainage des collections liquidiennes si nécessaire. 2. Pancréatite Chronique Causes : Consommation chronique d'alcool, maladies génétiques (ex. : fibrose kystique), hypercalcémie. Symptômes : Douleur abdominale chronique, insuffisance pancréatique exocrine et endocrine (diabète). Complications : Pseudo-kystes, sténose biliaire, cancer du pancréas. Diagnostic : Tests biologiques : Fonction pancréatique (faible taux de lipase et d'amylase). Imagerie : TDM, IRM, échographie endoscopique. Traitement : Douleur : Analgésiques, interventions endoscopiques ou chirurgicales. Insuffisance pancréatique : Enzymes pancréatiques, contrôle glycémique. Complications : Surveillance et traitement des pseudo-kystes, sténoses et autres complications. 3. Cancer du Pancréas Facteurs de risque : Tabagisme, pancréatite chronique, antécédents familiaux, mutations génétiques (BRCA2). Symptômes : Ictère obstructif, perte de poids, douleur abdominale irradiant vers le dos, diabète de novo. Diagnostic : Imagerie : TDM, IRM, échographie endoscopique avec biopsie. Marqueurs tumoraux : CA 19-9. Traitement : Chirurgie : Résection de Whipple pour les tumeurs résécables. Chimiothérapie : Gemcitabine, FOLFIRINOX. Radiothérapie : En adjuvant ou pour pallier les symptômes. Conclusion Les affections hépato-biliaires et pancréatiques couvrent un large éventail de pathologies allant des infections aiguës aux maladies chroniques et aux cancers. Une compréhension approfondie de ces affections permet un diagnostic précoce, une gestion appropriée et un traitement efficace des patients. Une prise en charge multidisciplinaire est souvent nécessaire, incluant des consultations avec des hépatologues, gastro-entérologues, radiologues et chirurgiens. Next

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